Dans le cadre de la fonction publique, les professions sont ordonnées en trois catégories. Chacune d’elles correspond au niveau hiérarchique du fonctionnaire ainsi que son salaire. De nombreux paramètres sont à l’origine de la détermination du classement. Voici quelques explications à ce sujet.
La répartition des catégories en fonction publique
En suivant la hiérarchie et la rémunération, il existe trois niveaux de travailleurs en allant du plus élevé au moins élevé :
- Les fonctionnaires de catégorie A (cadres),
- Les fonctionnaires de catégorie B (agents intermédiaires),
- Les fonctionnaires de catégorie C (employés et ouvriers).
Selon de nombreux conseils aux fonctionnaires, le respect de ces paramètres est impératif. La catégorie A fait référence aux agents œuvrant dans le secteur de conception et de direction. Le niveau d’étude requis pour cette place est la licence (bac + 3), mais certaines postes demandent des diplômes supérieurs. La catégorie B rassemble les fonctions d’application. Elle nécessite un niveau académique de bac + 2 pour des missions d’encadrement d’équipe. La catégorie C correspond aux métiers d’exécution. Aucun brevet n’est exigé pour celle-ci, mais les qualifications professionnelles restent indispensables.
Les salaires moyens nets des personnels de l’État
Pour connaître la rémunération par catégorie des agents de l’État, il faut tenir compte de l’indicateur de salaire. D’après une étude faite par des professionnels de statistique, la grille salariale se présente de la manière suivante.
- Pour les cadres : 2 909 euros avec une évolution de 0,2%,
- Pour les agents intermédiaires : 2 045 euros avec une évolution de 0,1%,
- Pour les employés et ouvriers : 1 950 euros avec une évolution de 0,4%.